Palmyre, nécropole ouest, vue de la butte d'Umm Belqis. On y reconnaît (de gauche à droite) la tour de Jamblique (83 ap. J.-C.), la tour de Hairan (Ier siècle ap. J.-C.) et la tour des Bene Ba'a (Ier siècle ap. J.-C.) - source : https://archeologie.culture.gouv.fr/palmyre/fr/la-necropole-1
Les Cartes Blanches

Vivre avec les morts. Occupation du territoire et aménagements des espaces dans l'Antiquité

Carte blanche à Antiquité-Avenir Les sociétés antiques pensèrent la cohabitation entre les vivants et les morts. Les morts avaient leur ville : c’est le sens de « nécropole ». Il était interdit d’ensevelir les morts dans la Ville ; les nécropoles romaines étaient donc hors les murs. À Délos, dont les terres étaient consacrées à Apollon, la nécropole se trouvait sur l'île voisine de Rhénée. Pourtant, cette règle ne semble pas universelle. L'hypogée royal de Qatna était organisé pour que les vivants puissent côtoyer les défunts. L’archéologie, l’épigraphie et l’iconographie permettent d’appréhender des situations complexes et variées.

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Vivre avec les morts. Occupation du territoire et aménagements des espaces dans l'Antiquité
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Palmyre, nécropole ouest, vue de la butte d'Umm Belqis. On y reconnaît (de gauche à droite) la tour de Jamblique (83 ap. J.-C.), la tour de Hairan (Ier siècle ap. J.-C.) et la tour des Bene Ba'a (Ier siècle ap. J.-C.) - source : https://archeologie.culture.gouv.fr/palmyre/fr/la-necropole-1
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