Nomades ou sédentaires : quel travail pour demain ?
Le discours dominant valorise le « partir », le mouvement, la flexibilité, l'adaptabilité, au nom d’une forme revendiquée de modernité et d’une compétition mondialisée. Or ces « mobilités », en faisant ressurgir le risque dans les parcours individuels, peuvent aussi être vécues sous l'angle de la précarisation.
Doit-on, et si oui comment, repenser les protections collectives et définir ainsi les contours d’un nouvel Etat Social ?
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Nomades ou sédentaires : quel travail pour demain?
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