Le barbare, figure du migrant
En partenariat avec la revue l’éléphant
Les Grecs disaient barbares ceux qui ne parlaient pas le grec. L’historien Bruno Dumézil explique les transformations multiples du mot : n’avons-nous pas sans cesse besoin de (re)définir celui qui nous est étranger pour nous (re)définir nous-mêmes ?
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Le barbare, figure du migrant
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