Combattant indépendantiste, Abdelmalek Kitouni pose au maquis avec sa femme et ses quatre enfants devant l’objectif de son compagnon d’armes Abderrahmane Khaznadar. Région d’Aïn Kerma, Algérie, printemps 1956
fonds privé famille Kitouni
Les Cartes Blanches

La photographie entre vivants et morts. Regards croisés sur la Shoah et la guerre d'Algérie

Carte Blanche à EHNE-Sorbonne Université Cette carte blanche propose une réflexion comparée sur la photographie en histoire comme médiatrice entre les vivants et les morts à partir d’un regard croisé sur deux événements contemporains majeurs : la Shoah et la guerre d'Algérie. Il s’agira de considérer le geste photographique comme une trace des morts laissée par des vivants, et l’objet “photo” comme une archive déterminante dans l’enquête des vivants-historiens documentant des violences de guerre et des crimes, restituant ainsi l’identité des morts comme les conditions de leur disparition. Deux spécialistes de la Shoah (Tal Brutmann et Sarah Gensburger) et deux spécialistes de la guerre d'Algérie (Sylvie Thénault et Marie Chominot) qui ont travaillé sur des archives photographiques apporteront leur regard et leurs pratiques historiennes.

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La photographie entre vivants et morts. Regards croisés sur la Shoah et la guerre d'Algérie
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Combattant indépendantiste, Abdelmalek Kitouni pose au maquis avec sa femme et ses quatre enfants devant l’objectif de son compagnon d’armes Abderrahmane Khaznadar. Région d’Aïn Kerma, Algérie, printemps 1956
fonds privé famille Kitouni
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