Femmes et pouvoir à la Renaissance

Avec l’humanisme, la Renaissance affirme l’existence de l’individu – masculin – et reconnaît ses désirs et sa liberté de choix. La condition des femmes reste en revanche plus ambivalente puisqu’elles sont le plus souvent sous la tutelle de leur époux ou de leur famille et accusées de tout. Certaines pourtant défendent leurs droits et leurs biens et parviennent à s’émanciper. Sylvie Le Clech dresse le portrait de quinze d’entre elles, des très illustres Marguerite de Navarre à Catherine de Médicis en passant par la méconnue Jacquette Sadon, sorcière du Berry. Joël Cornette explore quant à lui la personnalité complexe de la célèbre Duchesse Anne de Bretagne et fait la part entre le mythe et la réalité historique.